Londres c'est pas loin, c'est différent, dépaysant.C'est cool, branché. La fête.
Tout ça.
Mais moi non. Londres ne m'attire pas.
Londres pour moi c'est surfait, fric, marketing, calibré. Des restos plus chiants et plus chers les uns que les autres, du parfum bon marché, des femmes adipeuses (des filles-n-chips).
Je n'aime pas non plus : La Tate Modern, le cornichon de Norman Foster, la grande roue, Camden Market, Heathrow (le pire aéroport que je connaisse, et j'en connais beaucoup), Buckingham, les clubs de foot (je suis nul en foot, si ça se trouve il n'y en a même pas à Londres...)
J'ai des amis là-bas qui me proposent souvent de venir les voir. Je dis oui-oui, j'y crois presque mais il faut bien que je constate que je ne pousse jamais jusqu'à aller acheter un billet, ni même planifier un weekend dans mon agenda. Je n'y vais jamais ou presque. Quelques déplacements professionnels de temps en temps.
Un rare souvenir sympa est un soir quand j'ai retrouvé un pote réalisateur-star au Sanderson et où s'est tapé la cloche aux frais de la prod. Rien d'extraordinaire non plus...
Je vois bien que je ne suis pas objectif, que je ne connais pas la ville ni les gens, que je m'en tiens à 3 clichés nuls. Mais c'est pourtant vraiment ce que je ressens...
Pourtant j'aimerai bien aimer Londres. Ce serait socialement avantageux plutôt que, une fois de plus, passer pour l'aigri de service. Et puis ça me couterai moins cher que d'être tout le temps fourré à New York.
Tout ça.
Mais moi non. Londres ne m'attire pas.
Londres pour moi c'est surfait, fric, marketing, calibré. Des restos plus chiants et plus chers les uns que les autres, du parfum bon marché, des femmes adipeuses (des filles-n-chips).
Je n'aime pas non plus : La Tate Modern, le cornichon de Norman Foster, la grande roue, Camden Market, Heathrow (le pire aéroport que je connaisse, et j'en connais beaucoup), Buckingham, les clubs de foot (je suis nul en foot, si ça se trouve il n'y en a même pas à Londres...)
J'ai des amis là-bas qui me proposent souvent de venir les voir. Je dis oui-oui, j'y crois presque mais il faut bien que je constate que je ne pousse jamais jusqu'à aller acheter un billet, ni même planifier un weekend dans mon agenda. Je n'y vais jamais ou presque. Quelques déplacements professionnels de temps en temps.
Un rare souvenir sympa est un soir quand j'ai retrouvé un pote réalisateur-star au Sanderson et où s'est tapé la cloche aux frais de la prod. Rien d'extraordinaire non plus...
Je vois bien que je ne suis pas objectif, que je ne connais pas la ville ni les gens, que je m'en tiens à 3 clichés nuls. Mais c'est pourtant vraiment ce que je ressens...
Pourtant j'aimerai bien aimer Londres. Ce serait socialement avantageux plutôt que, une fois de plus, passer pour l'aigri de service. Et puis ça me couterai moins cher que d'être tout le temps fourré à New York.
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