Royal Hotel, Copenhague (Architecte : Arne Jacobsen)
11 oct. 2010
5 oct. 2010
Robyn Orlin au Théâtre de la Ville
Robym Orlin - « Walking next to our shoes… intoxicated by strawberries and cream, we enter continents without knocking… » (Photo © John Hogg)
Agacé par les danseurs filmant les pieds des spectateurs avant le début du spectacle, puis pétrifié à la lecture du livret - L’interaction n’est pas seulement mise en œuvre dans le processus de création mais également durant la représentation, dans les relations entre les acteurs-danseurs, et surtout dans le rapport avec public. - j'ai failli quitter la salle avant le début de la représentation. Heureusement je suis resté.
Je n'ai pas apprécié la totalité du spectacle, en particulier les solos nasillards d'un des danseurs, mais j'ai été porté par les chœurs de Phuphuma Love Minus, hypnotisé par les rythmes de la chorégraphie, parcouru de frissons lors du passage sur le sida puis ému aux larmes par ce chœur final affirmant sa fierté d'être sud-africain.
Je n'ai pas apprécié la totalité du spectacle, en particulier les solos nasillards d'un des danseurs, mais j'ai été porté par les chœurs de Phuphuma Love Minus, hypnotisé par les rythmes de la chorégraphie, parcouru de frissons lors du passage sur le sida puis ému aux larmes par ce chœur final affirmant sa fierté d'être sud-africain.
Au Théâtre de la Ville jusqu'au 9 octobre.
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